Scène et in situ

Pour son bien
Conception, écriture Ruth Olaizola
Avec Saadia Bentaïeb, Ruth Olaizola, Gwennaëlle Roulleau
Collaboration artistique Lucia Trotta 
Musique Gwennaëlle Roulleau
Scénographie et lumière Orazio Trotta
Costumes Siegrid Petit-Himbert
Son Eliott Allwright

« La mère : Je vous en supplie, monsieur, ne la laissez écrire à qui que ce soit (…). Les lettres sont ce qu’il y a de plus dangereux. »

Deux comédiennes et une musicienne s’interrogent sur l’internement de Camille, en suivant la trace de son courrier censuré à son insu. Ces ouvrières du récit tissent la mise en abîme de son internement : des médecins, une mère et une fille se font face mais jamais de manière frontale. Dans un dispositif immersif, elles sculptent une œuvre pleine d’aspérités, de trous, de jaillissements. Le·la spectateur·rice est emporté·e dans une spirale intimiste. Le concret et l’onirisme se côtoient et se confondent. Ruth Olaizola a écrit Pour son bien à partir d’archives de Camille Claudel. Une pièce de théâtre qui va au-delà de la vie tragique d’une grande artiste, la petite histoire rejoignant la grande Histoire, l’intime devenant universel. Entre poème dramatique et poème documentaire, la pièce soulève des questions d’actualité sur la filiation, le secret de famille, la santé mentale, la condition de la femme.

 

Mauvais esprit

Mise en scène de Christelle Harbonn,
Texte de Christelle Harbonn et Karima El Kharraze
Avec Fanny Avram, Jung-Shih Chou, Ahmed Fattat, Aristote Luyindula & Lou Simon
Création objets marionnettiques Lou Simon & Florence Garcia
Scénographie et régie générale Manu Buttner
Musique et son Gwennaëlle Roulleau  Gwennaëlle Roulleau 

Régie son : Paulin Bonijoly
Lumière : Guillaume Pons
Création costumes : Lucie Guillemet

Le mauvais esprit est un projet issu d’un cycle de recherches de la compagnie autour des peurs qui traversent le XXIème siècle.
Il s’intéresse aux peurs héritées de l’enfance et aux croyances populaires.
Il regroupe au plateau une équipe de six interprètes, dont deux marionnettistes.
Le projet est pensé pour être joué dans les quatre langues maternelles des acteur·ice·s : arabe, français, lingala et mandarin.
Alternant écriture à la table et écriture au plateau, nous avons dans un premier temps écrit sur nos peurs personnelles, associées à des légendes familiales dont nous avons héritées.
Une fable liant tous les protagonistes entre eux a été tissée dans un second temps.
La voici : Le monde brandit une nouvelle menace qui ne dit ni son nom ni son objet, assez effrayante pour entraîner une fuite générale.
Shih Shih, qui vit dans une maison à l’orée d’une forêt, accueille ses trois amis d’enfance pour une durée indéterminée.
Passée la journée des retrouvailles aussi amicales que complexes, la nuit vient réveiller les inconscients et chacun se retrouve face à ses terreurs enfantines.
Ensemble, ils tentent de comprendre et de déjouer ce qui les fait trembler.

La pièce puise son inspiration fantastique dans un certain nombre de contes que nous nous amusons à tordre et à mixer afin de leur donner une saveur et une étrangeté inédites.
Nous voulons d’une part évoquer sans bravoure la question de nos terreurs et de nos angoisses, mais nous voulons aussi célébrer l’amitié, ce socle amical qui réinvente nos familles, qui les adoucit et qui les pansent.

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Cytotec
Cie Djalma Primordial Science
texte Anooradha Rughoonundun
mise en scène et danse Ephia Gburek
jeu sur scène et chant Anooradha Rughoonundun
musique électroacoustique en direct Gwennaëlle Roulleau
accordéon et compositions sonores Vincent Valente
création et régie lumière Olivier Richard
costumes Liliam Dooley
scénographie Raphaël Thibault

Mis en voix par son autrice, Anooradha Rughoonundun, Cytotec raconte deux histoires parallèles et vertigineuses : celle de Youri Gagarine, premier homme à quitter le champ gravitationnel de la Terre, et celle de Natasha, sa compagne. La survivance presque hasardeuse du cosmonaute et la réussite inouïe de sa mission transforment Gagarine en héros mondial, ambassadeur de son pays en pleine guerre froide. Le texte dévoile en parallèle la situation fictive de sa femme Natasha. À l’instant où Youri subit les dangers du premier vol spatial – le temps suspendu à flotter dans le noir, les secousses ultra-violentes du décollage et du retour –, Natasha, enceinte, choisit d’interrompre sa grossesse. Elle subit les séismes du médicament abortif « cytotec ». Son acte sera autrement voilé de secret, chargé de risque et de solitude. L’histoire enfouie de cette femme qui avorte clandestinement ne sera pas reconnue. Ainsi, une société hautement technologique arrive à défier les lois même de la gravité, mais n’a jamais développé un rituel, une cérémonie, « un parachute de sécurité » pour la femme qui choisit d’interrompre sa grossesse.

Le texte et nos intentions de mise en scène invitent au vertige. Quelque chose à l’échelle du microcosme bascule à l’intérieur du corps de Natasha, pendant que Youri se trouve « à des années-lumière ». Nous entrevoyons une faille entre le projet du patriarcat d’étendre son influence jusqu’à l’espace intersidéral, et l’absence d’attention (ou la négligence délibérée) pour un acte de soin fondamental concernant le corps de la femme. Nous cherchons à nous glisser dans cette fissure pour évoquer l’intime. Au-delà d’une simple revendication du droit à l’avortement, Cytotec ouvre un espace de résonance pour ce qui est si souvent traversé en silence.

Notre domaine de recherche opère dans la transdisciplinarité, axé essentiellement sur le corps et le son. Le verbe est traité comme matière sonore à déformer — trituré par accélération, dilaté par ralentissement, brouillé par interférences, interrompu par l’envolée du chant, distancé du corps parfois via la diffusion. L’autrice/comédienne est mise en mouvement, et la danseuse/chorégraphe parfois amenée à faire instrument de sa voix. La musicienne agit au plateau, créant la musique électroacoustique en direct. Riche en expériences pédagogiques dans leurs domaines respectifs, l’équipe artistique développe un atelier pour accompagner le public jeune adulte dans sa réflexion autour de la pièce et du thème de l’avortement.

© Seghir Zouaoui

Pépin
Mise en scène de Christelle Harbonn,
Texte de Christelle Harbonn et Karima El Kharraze
Avec Eloïse Bloch, Marianne Houspie
Musique et son Gwennaëlle Roulleau 

En 2053, le monde a été immergé, à l’exception de quelques centaines d’hectares miraculeusement sauvées des eaux et qui forme Ville, probablement la seule cité rescapée. Une apparente harmonie y règne au prix d’un gouvernement très autoritaire. Une pluie continuelle est la source principale d’inquiétudes.
Chaque année, une jeune personne est envoyée chez Baba, une femme recluse dans une grotte montagneuse, dont personne ne sait de manière sûre à quoi elle ressemble. Baba aurait, dit-on, réussit par sorcellerie à créer un petit soleil susceptible d’arrêter la pluie. Aucune de ces jeunes personnes n’est revenue pour raconter, et la pluie n’a jamais cessé.
Pépin, jeune homme bouffé par ses angoisses, ses principes et son asthme, a été choisi cette année pour convaincre Baba de faire revenir le soleil sur les terres.
Nous racontons la rencontre de ce garçon et de cette femme, qui ensemble et avec le public, vont déconstruire et reconstruire leur façon de penser et rêver ensemble à un monde où il n’est plus vraiment question de rester seul.
Il s’agit d’une fable fantastique et fantasque dont les principaux sujets sont l’écologie et la peur des autres. Elle part, entre autres, d’un des scenarii du GIEC qui suppose la constitution probable d’états fascistes, repliés sur eux-mêmes et qui accentueraient la vitesse de l’effondrement de l’humanité. 
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Le Sel – création 2021 La Criée – Marseille
Mise en scène de Christelle Harbonn,
Texte de Christelle Harbonn et Karima El Kharraze
Avec Amaya Belly, Michael Charny, Gilbert Traïna
Musique et son Gwennaëlle Roulleau 

Le Sel est une fabuleuse histoire, celle d’Éphraïm Barsheshet, jeune juif du Maroc qui aurait, dit-on, fait le voyage entre Marrakech et Jérusalem à dos d’âne. Un périple captivant et onirique, entre faits et légendes, à la découverte de ses origines. Quand la mémoire s’efface, reste l’imagination. Le sourire dans les mots, Christelle Harbonn rêve les pans manquants de sa propre histoire pour parler de liens et d’exil, d’hier et d’aujourd’hui. Elle raconte le destin de celui qui part et de celui qui reste, dans un spectacle éclatant qui traverse frontières et langues. On découvre à Marrakech Ephraïm, qui malgré son amour pour Efrat, part en 1890 étudier en Terre Sainte pour devenir rabbin. Sa vie est ailleurs, il le sait. On retrouvera de nos jours, Jésus, son arrière-arrière-petit-fils, installé avec son compagnon à Paris, et sa quête des origines. D’où vient-il ? et pourquoi est-il là ?… Une mythologie familiale qui traverse les siècles!

La rue – création 2021 Théâtre du Soleil – Paris
Texte
de Yael Rabon, mise en scène de Marcel Bozonnet.
Composition et live

La Rue, roman déconcertant, est le récit à la première personne d’un soldat démobilisé après quatre années de guerre contre les armées prussiennes d’abord, contre les armées bolchéviques ensuite. C’est une longue errance hallucinée à travers une ville, à travers la mémoire, à travers un univers où la frontière entre le rêve et la réalité est brouillée, où le fantastique, le grotesque, le macabre se mêlent.

Points de vue création 2020
sur la centrale EDF de Vitry-sur-Seine
La compagnie Tangible accompagne sur trois ans le démantèlement de la centrale. Elle investit cette année le parc à charbon avec une création chorégraphique et sonore dans la démarche propre à la compagnie, l’archéographie.
La résidence de création commencée en mars 2018 aboutira sur une création dans le cadre de la Nuit Blanche / MurMur les 5, 6 et 7 octobre 2020 dans la centrale EDF.

ventre centralehp centrale

Tangible embarque… création 2018
Exploration archéographique* autour du départ de la roue pelle Seine

Les artistes de la compagnie Tangible accompagnent de jeunes Vitriots sur le site de la roue pelle Seine, pour une exploration archéographique, sonore et visuelle.
Premier signe apparent de la destruction de l’usine EDF de Vitry-sur-seine, le démantèlement de la roue pelle est un symbole fort des mutations urbaines, sociales et culturelles.
Ces interventions font suite aux parcours artistiques et aux films réalisés avec ces jeunes Vitriots en 2016. Elles relient l’histoire de la ville à son devenir sur le site site emblématique de la roue pelle Seine aujourd’hui démantelée.
Il s’agit lors de ces explorations de consigner une mémoire subjective et vivante du site et de sa fonction. Les jeunes archéographes en enregistrent la trace, par le regard sur l’espace, un travail d’empreinte corporelle, et la captation sonore du paysage et des éléments qui vont disparaitre. Créée à partir des éléments relevés par les jeunes, la performance artistique laissera émerger l’imaginaire au sein même du réel de la

tangible embarquemise à nue du site. Donnée à quai, elle sera offerte aux passagers de la péniche du Francilien, dans le cadre des croisières organisées par la DSEA du Val de Marne.

QUI… Les jeunes explorateurs sont du centre de quartier Balzac et du collègue Rabelais de Vitry-sur-Seine.

Création archéographique : Sébastien Molliex et Edwine Fournier.
Prise de son et composition : Gwennaëlle Roulleau.

Open Sources, Diptyque II autour de la Bièvre / Tangible – création 2016

Dans le cadre d’une exploration poétique de la Bièvre, les archéographes ont fouillé les ressorts de la rivière en des étapes cruciales, dans le 13e arrondissement de Paris à son arrivée, en une étape intermédiaire à Arcueil avant de remonter à sa source, à Buc (78). Ils proposent à chaque étape un parcours poétique traversé d’imaginaires autour de la Bièvre. Performances chorégraphiques et théâtrales, installations plastiques et textiles, créations musicales embrassent et réveillent cette rivière aux multiples facettes.

Conception et réalisation : Françoise Bachelard, Edwine Fournier, Manon Gignoux, Sébastien Molliex
Musique, saxophone, vielle à roue, mélodica : Laurent Géhant
Musique, live electronic, field recording : Gwennaëlle Roulleau
Texte : Christine Coutris

Immersion création 2015
Commande du festival Art Zimuth.
Les archéographes viennent investir la ville de Biars, pour faire émerger la mémoire, la poésie du village, de son environnement, le traduire en résonnances dansées et sonores. La performance prendra la forme d’un parcours reliant la rivière, ancien centre du bourg, à la gare, située au coeur de la ville nouvelle.

Au bout du couloir / Olivia Grandville – création 2014
Toute ressemblance ou similitude, d’après Au bout du couloir à droite, d’Aurore Jacob
A l’invitation de Théâtre Ouvert, qui accompagne depuis le début son écriture, Aurore Jacob, jeune auteure, a rencontré Olivia Grandville, chorégraphe et danseuse confirmée, en vue d’une création à partir d’Au bout du couloir à droite.
Cette pièce est la première de l’auteure présentée à un public et publiée dans la collection Tapuscrit de Théâtre Ouvert : Elle argumente, elle proteste, elle négocie, elle flatte, elle séduit, elle craque, elle hurle, elle explose, elle accepte, elle se soumet, elle se punit… On ne saura rien de cette femme, de la guerre qu’elle traverse, du pouvoir qui la broie, juste qu’elle connaît le pli de l’obéissance. Je me suis souvent demandé à quelle activité de survie pouvait se livrer un corps à l’isolement ? Qui plus est celui-là, le corps d’une danseuse ? Peut-être ici, c’est la dépense folle de la langue qui travaille, le halètement du souffle qui s’épuise, la machine mentale à plein régime, toute cette danse empêchée, qui la tient debout.
Olivia Grandville affirme depuis toujours dans ses projets son intérêt pour la dimension polysémique de la danse, en particulier les correspondances entre le geste et le verbe. Ainsi notamment dans ses deux récents spectacles : Le Cabaret discrépant qui mêle acteurs et danseurs autour de textes d’Isidore Isou et d’auteurs du mouvement lettriste, L’Invité mystère (précipité) où elle met en scène le roman de Grégoire Bouillier avec le comédien Manuel Vallade.

Conception et interprétation  Olivia Grandville
Création lumière Yves Godin
Création sonore Gwennaëlle Roulleau

Remerciement à Fernanda Barth, Sophie Daull et Sylvain Prunenec

 

l’Oblique haute / Tangible – création 2013
Danse in situ – Dans le cadre des Pleins feux d’Ivry-sur-Seine
En écho à l’œuvre monumentale de Jean Clareboudt, place de l’Orme au chat à Ivry sur Seine, la performance cherche à danser cette sculpture qui façonne la place et ce à quoi ouvre ce carrefour, l’école, la piscine, le chantier…
Le poids de la pierre en l’air, la force d’attraction retenue invitent à un changement de perspectives, à les inventer, peut-être même à les inverser …
Chorégraphie : Edwine Fournier
Danse : Sylvie Tiratay
Musique : Gwennaëlle Roulleau

Sortie du Chantier / Tangible (2012)
« Sortie du chantier » est une commande de la Briqueterie (centre de danse du Val de Marne) dans la période de son chantier. La cie Tangible forte de sa démarche in situ a travaillé sur le lieu et sur son quartier.
Extrait de la scène 2 : sur le trottoir face à la Briqueterie

Extrait de la scène 1 : devant le chantier de la Briqueterie

Extrait de la scène 1 : face à la Briqueterie

Extrait de la scène 7 : dans la cour de l’immeuble

Extrait de la scène 5 : sur la place entre la Briqueterie et les immeubles

Chemin des tortues / Tangible (2010)
Ecrit in situ, Chemin des tortues revisite les contextes qui l’accueillent. Dans des espaces quotidiens, il déploie des tableaux de deux vies qui se lient, aux différents âges de la vie. Dans une remontée dans le temps, le spectacle commence par la vieillesse.

Il raconte le chemin de deux vies partagées.

Ou une scène de ménage dans les deux sens du terme. Une machine à laver abandonnée dans une cour a inspiré le jeu avec les vêtements, jeu d’échange. Et ce sont vite leur image et leur rôle qui sont mis en jeu. Dans une énergie qui peut évoquer la scène de ménage.

et dans l’enfance

Théâtre :

La récolte / Théâtre de Syldavie – création 2013
Texte de Pavel Priajko, traduit du russe (Biélorussie) par Larissa Guillemet et Virginie Symaniec.
Quatre jeunes gens de la ville se retrouvent en hiver dans une pommeraie pour cueillir de la Reinette dorée. Leur maladresse va bientôt transformer tout ce qui, au départ, devait simplement relever de la simple sortie champêtre en un véritable champ de ruines. Au sein de celui-ci vont progressivement se révéler la violence sourde qui sous-tend leurs rapports ainsi que le sentiment de marasme autour duquel s’organise leur vie quotidienne. Une post-Cerisaie apocalyptique.

mise en scène Dominique Dolmieu
assistante Céline Barcq
dramaturgie Daniel Lemahieu
création sonore Gwennaëlle Roulleau
régie Antoine Michaud
avec Nouche Jouglet-Marcus, Barnabé Perrotey, Salomé Richez et Federico Uguccioni

Respire ! / Théâtre de Syldavie – création 2014
texte d’Asja Srnec Todorović
traduit du croate par Mireille Robin, avec le soutien de Troisième bureau
et publié aux éditions l’Espace d’un instant, avec le soutien du Centre national du Livre
lauréat de l’aide à la création dramatique du Centre national du Théatre
Respire ! est une variation en vingt-quatre tableaux où le personnage principal, invisible et omniprésent, est la mort. Elle vacille entre la compassion et le sarcasme devant la peur de l’homme face à sa fin, projetée ou possible. Elle propose une analyse nouvelle d’un monde envahi par l’insécurité intérieure, dans lequel les rites ancestraux inventés par l’homme face à la mort ne fonctionnent plus.
mise en scène Dominique Dolmieu
assistante Céline Barcq, dramaturgie Daniel Lemahieu
lumières Tanguy Gauchet, musique Gwennaëlle Roulleau
avec Nouche Jouglet-Marcus, Aurélie Morel, Christophe Sigognault et Federico Uguccioni
bande annonce
presse

Ingrid / ISTS – Avignon – création 2012
Un voyage dans la tête d’Ingrid. Personnage aux multiples facettes. Comme la toile, du web ou de l’araignée, Ingrid tisse, zappe, trace, dessine autant de mondes que là où l’embarquent ses émotions. Maladie ou simple extravagance, qu’importe, en une myriade d’émotions, Ingrid nous surprendra.
Au-delà des écritures des membres du groupe, cette création reprend des textes de Fabienne Mounier, Victor Hugo, Sigmund Freud.
Spectacle issu de la formation de régie du spectacle à l’Ists (Avignon)

Mise en scène : Gertie Dambury
Avec et par Bertrand Edet, Cyril Casano, David de Cuenca, Gaëtane Serond, Guillhem Jeanjean, Gwennaëlle Roulleau, Hacene Ouragh, Julien Bene, Julien Faucher, Nicolas Gouelle, Simon Gatehouse, Simon Piroud, Thomas Seivert, Tristan Leroy

Sens / Nicolas Goussef – création 2011
En premier lieu Sens a été imaginé comme une exposition parcours sur la profusion des directions. La parole philosophique s’est imposée rapidement comme le sujet et l’objet de notre réflexion.

Conception, scénographie, jeu Nicolas Gousseff et Marcela Gomez
Regard extérieur Alexandra Vuillet
Création lumière Manu Robert
Recherche et conseil son Gwennaëlle Roulleau